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Haute Normandie et Etretat : 25 activités pour des souvenirs grandeur nature

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La côte d’Albatre, Etretat et les environs de la côte Normande

Un peu d’histoire pour comprendre

Difficile de dissocier l’histoire de la Seine-Maritime de celle de la Normandie. Habitée dès la Préhistoire, elle devint plus tard, le terrain des tribus gauloises.

C’est sous la domination romaine, que des villes sont créées. Bien que paisible durant l’empire carolingien, elle subit au IXe siècle les invasions viking ; en 911, Charles le Simple cède à Rollon le territoire qui allait devenir le Duché de Normandie.

La province est un enjeu capital de la guerre de Cent Ans. Prospère en 1789, elle est occupée ensuite, par les Allemands en 1870. Au cours de la Guerre 14-18, le gouvernement belge s’installe à Sainte-Adresse. Par ailleurs, le département occupé dès juin 1940 a subit de nombreux bombardements durant la Seconde Guerre Mondiale, . Finalement, Rouen est libéré en août, Dieppe en septembre ainsi que la ville du Havre, cependant détruite à 80 %.

Vous l’aurez compris, la Haute-Normandie est haute en couleur, en nature et en histoire.

Cet article vous présente 25 des meilleures activités, afin que, votre premier séjour soit rempli d’émotions et vous créé de merveilleux souvenirs.

Il vous est présenté par Angélique Papin, esthéticienne et hôte d’exception qui vous accueille dans le gîte la Princesse des Petits Pois.

1. Découvertes et nature et Haute Normandie

Vite, vite… Nous sommes pressés, la nature nous attend !

Pour ce séjour, la Seine-Maritime sera notre terrain de jeu ! Partir en exploration à travers les charmants petits coins de Normandie, sortir des sentiers battus.

En résumé, direction l’évasion !

Quoi faire en Seine-Maritime ? Plateau, vallées et falaises… Il semblerait que, l’enjeu est historique.

Le point culminant en Seine-Maritime est celui d’un plateau situé entre 100 et 200 mètres d’altitude dans le pays de Bray . Le plateau est constitué essentiellement de craie surmonté d’une couche de terre argileuse, entaillé par des vallées, appelées Boutonnières, et, par le littoral dont les falaises du haut de leur 100 mètres dominent le paysage.

Envie de balades en mer, ou sur le littoral en empruntant les véloroutes, en forêt, ou, pourquoi pas, sur les chemins de grande randonnée. A vrai dire, tout est possible !

Haute Normandie : Une région d’exception à la hauteur de ses falaises !

Les valleuses du pays de Caux

Ces petites vallées creusées par la nature et parfois aménagées par l’homme offrent un accès à la mer, privilégié, préservé et confidentiel. Une petite route, un chemin, parfois un escalier, voire même une échelle mène à la Manche. Une façon inattendue de découvrir le littoral et de s’émerveiller devant la nature.

Les plus belles valleuses sont typiques du pays de Caux, apparues suite au soulèvement des sols, il y a quelque deux millions d’années. Elles se présentent comme des failles qui entaillent les hautes falaises de craie. Ces vallons secs suspendus au-dessus de la mer offrent une diversité biologique et paysagère remarquable. On peut découvrir la richesse de ces paysages sauvages en empruntant les chemins de fond de vallée qui étaient utilisés autrefois par les pêcheurs à pied et les ramasseurs de galets. La valleuse d’Antifer est l’une des plus importantes de la Côte d’Albâtre. Propriété du Conservatoire du littoral de Seine-Maritime, elle est gérée par le Conseil Départemental de Seine-Maritime.

Depuis la station balnéaire d’Etretat, prévoir 8 km en 2 h 30. Vous rejoindrez le haut de la falaise et passerez en surplomb des sites emblématiques de la Côte d’Albâtre, la porte d’Aval et son aiguille, la Manneporte d’Etretat… avant de plonger vers la non moins emblématique valleuse d’Antifer.

Où les trouver :

  • Berneval-Le-Grand : Valleuse du Petit-Berneval 
  • Aux Loges : Valleuse d’Etigues
  • Octeville-Sur-Mer : Valleuse d’Octeville                          
  • Belleville-Sur-Mer à Petit-Caux : Valleuse du Val du Prêtre                 
  • Saint-Jouin-Bruneval : Valleuse de Bruneval  
  •  Au Tilleul : Valleuse d’Antifer                       
  • Saint-Léonard : Valleuse de Grainval                         
  • Saint-Martin-Aux-Buneaux : Valleuse de Port-Saint-Martin        
  • Senneville-Sur-Fécamp : Valleuse de Senneville                       
  • Sotteville-Sur-Mer : Valleuse de Sotteville                       
  • Varengeville-Sur-Mer : Les Valleuses
    • De Vasterival                     
    • Des Moutiers 
    • Du Petit-Ailly
    • De Mordal                                            
Les Valeuses de Haute-Normandie

Saint-Pierre-en-Port et Les Grandes Dalles

Comme les Petites Dalles, ces deux valleuses offrent en permanence un décor rythmé par les marées et les saisons. Vous pourrez alors, y observer toutes ces richesses lors de la pêche en bord de mer, à pied en parcourant l’estran ou encore, sur le GR21 d’Etretat pour des prises de vues magnifiques.

Le circuit qui longe les falaises de Saint-Pierre-en-Port arrive jusqu’au château de Sissi à Sassetot-le-Mauconduit. C’est en effet ici, que séjourna en 1875, Sissi, impératrice d’Autriche.

En chemin, vous pourrez admirer l’église de Saint-Pierre édifiée initialement au bord de la falaise, entièrement démontée et remontée à l’emplacement actuel.

l’église de Saint-Pierre

Le Sentier GR 21

Le sentier de grande randonnée 21 (GR21) traverse le département de la Seine-Maritime en Haute-Normandie. Du Tréport à Etretat, il longe la Côte d’Albâtre, puis, il rentre dans les terres pour rejoindre Le Havre. Il se divise ensuite en deux parties : du Havre à Veulettes-sur-Mer (92 km) et de Veulettes-sur-Mer au Tréport (87 km), soit 179 km au total. Il faut environ 9 jours au rythme de 20 km par jour pour le traverser.

Un peu de géologie …

Les falaises de craie se sont formées à l’époque du Crétacé (entre 120 et 65 millions d’années avant notre ère) grâce à l’accumulation de débris d’organismes marins et végétaux qui se sont déposés sur plus d’une centaine de mètres de profondeur au fond de la mer qui recouvrait toute cette zone.

Par la suite, de formidables mouvements de terrain provoqués par l’effondrement des bassins parisiens et londoniens ont permis la surrection de ces falaises sur les côtes françaises et anglaises.

Quant au nom de côte d’albâtre, il a été donné à ces 130 km de falaises majoritairement composées de craie. Elles s’étendent de la Seine jusqu’au Tréport, donnant à la mer une couleur blanche laiteuse, dès lors que la craie s’y dissous.

Les falaises de craie

La véloroute du lin

Dernier-né des itinéraires de tourisme à vélo de la Seine-Maritime, la Véloroute du lin est l’alternative douce et familiale à la véloroute du Littoral beaucoup plus sportive sur la Côte d’Albâtre.

Deux portions de voie vertes soit plus de 50 km à vélo vous permettent de relier Pourville à Fécamp en toute sécurité.

Avec cet itinéraire, les adeptes de la petite reine ont la possibilité d’emprunter un parcours qui fait la part belle à l’un des fleurons de la Seine-Maritime : le lin.

Avec ses longues portions aménagées en voie verte, c’est-à-dire sans véhicule motorisé, c’est le parcours idéal pour les familles et les cyclotouristes débutants.

Pourville-sur-mer

A Pourville-sur-mer, pas encore de champs de lin mais une plage conviviale au passé douloureux. Appelée Green Beach lors du Raid sur Dieppe ou Opération Jubilée de 1942, la commune a souhaité se souvenir des Canadiens décédés en voulant libérer ses habitants de l’occupant allemand. Bien que cette opération fût un échec, elle permit toutefois, aux alliés de récupérer des informations précieuses pour le Débarquement de juin 1944. Le sacrifice de ces jeunes hommes est commémoré sur le monument aux morts installé à côté de la chapelle.

Lorsque vous quitterez Pourville et son front de mer aux élégantes cabines de plage, votre parcours à vélo débutera par une remontée de la vallée de la Scie en direction d’Offranville.

Offranville

Quelques coups de pédale plus loin, vous aurez pris de la hauteur et arriverez à Offranville. Avec son église au clocher tors (formé en spirale), son musée Jacques-Émile-Blanche, ou encore son parc floral William Farcy, les prétextes à une pause culturelle seront nombreux. La location et réparation de vélos est possible en deux points à Offranville : au sein du parc William Farcy, ainsi que chez Planet ‘vélo, une enseigne située tout près de l’ancienne gare d’Offranville transformée en halte verte. Véritable point d’information touristique et de services pratiques (WC, distributeur de boissons fraîches, tables de pique-nique, point de gonflage de pneus).

Reprenez votre vélo pour sortir de la ville. Vous allez traverser vos premiers champs de lin en fleurs au cours du mois de juin et de très grande qualité dans le Pays de Caux. Celui-ci est « arraché » durant l’été puis disposé en andains dans les champs afin de le faire « rouir » (sècher). Viennent ensuite les étapes du retournage pour homogénéiser le rouissage et l’enroulage qui met fin à la récolte. Prochaines étapes : le travail des fibres. Mais ça c’est pour plus tard !

Ouville-la-rivière et Saint-Denis-d’Aclon

L’aménagement cyclable vous conduit ensuite à Ouville-la-Rivière et Saint-Denis-d’Aclon. En chemin plutôt descendant, des tables, des bancs et même des hamacs ont été aménagés pour une pause pique-nique ou un moment de repos. Voici arrivés dans la vallée de la Saâne. Plus encore que sa voisine la Scie, la Saâne draine une vallée à l’écart des itinéraires touristiques très fréquentés, arrosant des villages tranquilles dans lesquels se cachent, derrière un  rideau d’arbres, quelques belles demeures. C’est le cas de la Ferme de la Saâne, véritable ferme pédagogique qui fait le bonheur des petits et des grands.

En remontant sur le plateau, vous rejoindrez Luneray dont le marché du dimanche matin est un des plus vivants des environs.

Saint-Pierre-le-Viger

En route à présent pour redescendre vers Saint-Pierre-le-Viger, fin provisoire de l’aménagement en voie cyclable verte. « Entre mer et lin », ce territoire à proximité des plages de Veules-les-Roses ou de Saint-Aubin-sur-mer et parsemé de champs de lin porte bien son nom. C’est à Saint-Pierre-le-Viger que se trouve la coopérative linière « Terre de Lin » travaillant les fibres cultivées dans les champs environnants. Teillage, peignage ou encore filature, autant d’étapes qui permettront de produire les fils nécessaires à la confection textile, à la production de matériaux composites ou encore à récupérer les graines utilisées dans la gastronomie locale.

Entre Saint-Pierre-le-Viger et Cany-Barville vous cheminez sur de petites routes à faible trafic avant de retrouver l’itinéraire en voie verte dont l’entrée se situe au niveau de l’ancienne gare de Cany. Vous voilà arrivés dans la Vallée de la Durdent, prenez le temps de profiter de cette rivière qui alimenta au XIXe siècle plus de 60 moulins !

Valmont

Votre vélo et la force de vos jambes vous emmèneront vers Valmont, charmant village où vous pourrez découvrir à la fois son abbaye et les petites ruelles de son centre-bourg.

Avant d’arriver à Fécamp, prenez le temps d’apprécier les étangs riches en poissons de Colleville ainsi que les piscicultures qui se déroulent le long de la véloroute.

Vous voici arrivés à Fécamp, cité des Ducs de Normandie.

la véloroute du lin

Les Falaises d’Etretat

Les falaises du Pays de Caux sont constituées de craie, roche formée à partir des sédiments déposés au fond des mers qui occupaient alors l’emplacement du Bassin parisien, au Crétacé (-65 à -110 millions d’années). Des states de silex noir, gris ou blond sont visibles entre les couches de craie. Ils correspondent au dépôt de reste d’organismes à squelettes siliceux, comme les éponges. La craie proprement dite, provient elle, des restes d’algues unicellulaires riches en carbonate de calcium appelé coccolithes, auxquels sont mêlées des coquilles d’oursins ou de mollusques. Ces formations de craie et de silex apparaissent comme cycliques.

Des Paysages à couper le souffle !

Le paysage littoral d’Etretat, grandiose et inoubliable en toute saison, est une grande source d’inspiration. La célèbre station balnéaire inspira de nombreux écrivains, peintres et cinéastes. Ceux-ci contribuèrent à asseoir la réputation de ce site naturel unique.

Les paysages sont très impressionnants. On découvre sur le platier le parc à huîtres de Marie-Antoinette, qui ne mangeait que celles d’Etretat. En face, le Trou à l’Homme permet de passer de l’autre côté de la porte d’Aval grâce à un tunnel. En sortant, profitez d’une vue originale sur l’Aiguille creuse et la porte d’Aval.

Un escalier taillé dans la falaise crayeuse, prolongé par un sentier, permet d’accéder au sommet. Un parcours étonnant vous y attend : il faut traverser une première passerelle pour approcher du bord de la falaise, puis une seconde afin d’atteindre la porte des Demoiselles. Sensations assurées par le vide en dessous des pieds ! Les plus sages se contenteront de la vue magnifique, à gauche, sur l’arche massive de la porte d’Aval à l’architecture monumentale façonnée par la nature. En face, sur l’aiguille creuse, un roc énorme, haut de plus de 80 mètres, obélisque colossal, d’aplomb sur sa base de granit. La fantasmagorie des lieux et les variations de couleur suivant l’heure et l’éclairage ont fasciné les peintres, Isabey, Jongkind, Corot, Boudin, Courbet, et bien sûr Monet.

paysage littoral d’Etretat

Honfleur

Cité des peintres, Honfleur vous invite à la découverte de ses ruelles pittoresques et de ses maisons étroites et couvertes d’ardoises. Epargnée par les épreuves du temps, Honfleur a su préserver les témoins de ce riche passé historique qui en font aujourd’hui l’une des villes les plus visitées de France.

Une renommée internationale qu’elle doit en partie, à l’authenticité et au charme de ses rues pavées, ses façades à colombages, ses petites boutiques, et ses restaurants typiques, mais aussi à la diversité de ses monuments et à la richesse de son patrimoine culturel et artistique. Le vieux Bassin et la Lieutenance sont les symboles d’Honfleur.

Cité des peintres et de l’impressionnisme, Honfleur a ce supplément d’âme qui la rend irrésistible. Sur l’estuaire de la Seine, les lumières changeantes du ciel ont inspiré Courbet, Monet, Boudin et tant d’autres. Aujourd’hui encore, plusieurs dizaines de galeries et ateliers d’artistes présentent en permanence des œuvres classiques ou contemporaines.

l’estuaire de la Seine

Veules les Roses

Laissez-vous séduire par l’un des plus beaux villages de France, et longez le plus petit fleuve de France, la Veules, bordé de belles demeures à colombages et de moulins. Sur le front de mer, vous ne résisterez pas à la dégustation d’une douzaine de Veulaises, une huître élevée en pleine mer.

Ecoutez ruisseler l’eau dans les roues des moulins, promenez-vous sur le chemin qui bordent la Veules, et découvrez le cresson aux sources. Longeant la rivière, les abords de la ville sont en effet dédiés à la culture du cresson.

Niché depuis le IVe siècle au creux d’une valleuse débouchant sur la mer, Veules-les-Roses est l’un des plus anciens villages du Pays de Caux.

Lieu de villégiature très prisé au XIXe siècle, notamment par des artistes tels que Victor Hugo, son bord de mer et ses ruelles au charme intemporel continuent d’attirer les amoureux des belles choses.

Veules les Roses

Forêt d’Eu et l’Arbre de la Bonne Entente

Ils sont là, certains depuis 1888, implantés aux grands carrefours de la forêt. Ils ont un nom, indiquant aux promeneurs la bonne direction à suivre et sont uniques dans la région, ce sont les poteaux de la forêt d’Eu.

Cette forêt, d’abord seigneuriale, fut ensuite ducale, comtale, puis royale. Au Moyen-Âge, les défrichements au profit de l’agriculture et de l’élevage ainsi que l’implantation de nombreuses verreries contribuèrent à la dégradation du peuplement forestier. L’activité humaine y était alors importante : bûcherons, charbonniers et autres petits artisans édifiaient de nombreuses huttes ou « carcahoux ». Aujourd’hui la forêt d’Eu étend ses 9 300 ha sur le plateau qui sépare les vallées de l’Yères et de la Bresle. Parmi les essences dominantes, le hêtre représente 69 %, les chênes 12 %, les charmes, les frênes et merisiers 10 % et les résineux 9 %. Dans ce milieu sylvestre, l’animal le plus observable est incontestablement le chevreuil.

Patrimoine

Le tronc est cerclé de bleu blanc rouge, l’Arbre de la bonne Entente attire le regard. L’Entente cordiale est due au succès diplomatique par lequel la France, et le Royaume-Uni tentent de régler leurs antagonismes. En 1843, pour pérenniser l’Entente Cordiale, un chêne et un hêtre furent plantés par le roi Louis-Philippe et la reine Victoria. Curieusement, au fur et à mesure qu’ils grandirent, les deux troncs s’enlacèrent pour n’en former plus qu’un. Quel symbole !

Vous trouverez bien sûr un carcahoux reconstitué dans la forêt. Fabriqué par les bûcherons, cet abri de forme conique était construit en rondins de bois recouverts de paille. Il disposait d’un foyer et d’un trou au sommet pour laisser passer la fumée.

Cherchez aussi le Quesne à Leu (chêne à loups) : plusieurs fois centenaire, de 4 m de circonférence, la tradition veut qu’ici furent tués les derniers loups de la forêt d’Eu. Quant à la Pierre Bise, elle serait selon la légende, un ancien monument druidique. On raconte qu’elle fume quelques heures avant la pluie.

la faune et la flore du littoral

Les espaces naturels sensibles

Ce week-end, on s’allonge dans l’herbe, on lézarde au soleil et on respire ! Riche d’un patrimoine naturel exceptionnel, la Seine-Maritime met tout en œuvre pour préserver ses paysages si impressionnants. Avec plus de 160 balades, les zones humides, la faune et la flore du littoral n’auront plus de secret pour vous ! On y va ?

Eletot
Etretat
Hautot-sur-Mer


Le Tilleul Saint-Aubin-sur-Mer
Sainte-Marguerite-sur-Mer
Valmont et Fécamp
Veules les Roses

La Valleuse d’Eletot
La Falaise d’Amont
Le bois de Bernouville et la Vallée de la Scie


La Valleuse d’Antifer
La Vallée du Dun
Le Cap d’Ailly
Le bois des Communes
Le plus petit fleuve de France

Le Chêne d’Allouville-Bellefosse

Le Chêne d’Allouville-Bellefosse

Le Chêne d’Allouville est un chêne pédonculé situé au centre du village d’Allouville-Bellefosse, dans le pays de Caux, en Seine-Maritime. Son âge exact n’est pas connu : estimé au XIXe siècle âgé de 800 ans, une estimation ultérieure lui en attribue 1 200. Il est réputé comme étant le plus vieux chêne de France.

Sa hauteur est de 18 mètres, et sa circonférence atteint les 15 mètres dès 1 mètre du sol. Localisé à proximité immédiate du clocher de l’église du village, il abrite en son sein deux minuscules chapelles et draine chaque année quelque 30 000 à 60 000 visiteurs.

La hauteur du chêne, comparativement à sa grosseur, est relativement faible. Son tronc, qui est totalement creux, présente à peu près, depuis le sol jusqu’au sommet, c’est-à-dire jusqu’à l’endroit où il semble avoir été rompu, la forme d’un cône. Il est toujours actif et produit feuillage et glands.

Le chêne d’Allouville est inscrit à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en France depuis 2009.

La légende voudrait que le chêne ait été planté en 911 pour la naissance de la Normandie, mais les scientifiques pensent de nos jours que le chêne serait daté du IXe siècle. Probablement contemporain de Charlemagne, le chêne d’Allouville aurait vu défiler les troupes de Guillaume le Conquérant en marche vers l’Angleterre. Celui-ci deviendra duc de Normandie en 1035 et il aurait, selon la légende fait halte à son pied.

En vieillissant, l’arbre s’est creusé de l’intérieur, offrant en ses entrailles le petit mètre carré nécessaire pour une vie d’ascète. Depuis il abrite deux chapelles superposées. En effet, il fait l’objet d’une dévotion particulière. Il a été classé Monument Historique en 1932.

2. LES JARDINS

Les nouveaux jardins de Louanne

Le parc floral de Louanne est un espace de détente qui s’étend sur 15000 m² avec plus de 500 espèces de plantes ; Bambous, acacias, bananiers, grands palmiers, graminées, sont exposés autour d’aménagements aquatiques, avec les célèbres carpes Koïs.

Ce parc familial est un petit paradis sur terre à Fécamp… Ce jardin à thèmes compte 500 espèces d’arbres, arbustes et fleurs. Bassins aquatiques avec ses fameuses carpes Koïs, mini-ferme pour les enfants, avec poneys, moutons, poules. La rivière, « La Ganzeville« , serpente les jardins.

Les nouveaux jardins de Louanne

Les jardins d’Etretat

Ces jardins vous transportent dans un univers magique où les plantes se transforment en roches et se mêlent à la côte et à l’horizon.

La collection unique d’art contemporain qui s’inscrit à la perfection dans l’esprit du Jardin vous donnera une nouvelle perception du monde…

À la fin du XIXème siècle, une actrice comique française, Madame Thébault, a baptisé la Villa « Roxelane », d’après l’un de ses célèbres rôles, celui de la légendaire épouse du sultan Soliman le Magnifique. Madame Thébault était une amie de Monet, qui travailla souvent sur ses peintures à Etretat.

Différents univers ont été créés, comme par exemple, le jardin des émotions créé à partir de buis. Cette partie particulièrement intéressante abrite d’étonnantes figures de l’artiste espagnol Samuel Salcedo. Chaque tête représente une expression paisible, facétieuse, etc…

D’autres parties représentent le mouvement de l’océan, ses vagues, ses remous et marées.

Les jardins d’Etretat

Les jardins suspendus du Havre

Avec une vue imprenable sur l’estuaire et le port du Havre, les jardins suspendus sont une visite incontournable. Installés dans un ancien fort du XIXème siècle réaménagé, les arbres et les végétaux présentés dans d’immenses serres font référence aux cinq continents.

Le site

Quatre jardins paysagers thématiques ont été créés dans les quatre bastions du fort situés aux quatre points cardinaux et reliés entre eux par une promenade rustique sur les contreforts, à 8 mètres au-dessus de la cour intérieure.

  • Au nord-ouest, le jardin d’Amérique du Nord est très éclairé tout en étant protégé par un écran de verdure. On y a conservé quelques beaux chênes et frênes tandis que des arbustes tels cornouillers ou sumacs s’y épanouissent. Ici, le calme et le repos règne, tout en ouvrant différentes perspectives vers la cour intérieure.
  • Au nord-est, le jardin d’Asie orientale, modelé dans l’esprit des jardins de ces contrées, comporte une succession de rhododendrons, d’érables japonais, de bambous et de glycines volubiles chinoise et japonaise.
  • Au sud-est, le jardin austral a été inspiré par les paysages australiens et tasmaniens. Symbole du jardin, l’eucalyptus y côtoie des véroniques arbustives, des cordylines et des fougères venues de Nouvelle-Zélande. C’est l’un des endroits qui a été le moins modifié par rapport au bâti d’origine. Remises en valeur, les traces architecturales des anciennes batteries militaires ont été épurées et recreusées pour donner naissance à des espaces de repos.
  • Au sud-ouest, le jardin des explorateurs contemporains rend hommage aux explorateurs du XXème siècle, qui continuent à parcourir le monde. Il sera donc toujours en mouvement, régulièrement alimenté par de nouvelles plantes, fruit des recherches des botanistes du monde entier. On peut y découvrir de nouvelles variétés d’acacia, d’érable, de jasmin ou de fusain. Symboliquement tourné vers la mer, il propose un point de vue admirable
  • Au centre de la cour, un immense tapis vert engazonné, séquencé d’allées pour piétons, est bordé de plantes arbustives odorantes. C’est le jardin des senteurs. À l’abri du vent, elles dégagent en période de floraison des parfums différents selon les heures de la journée.

Site classé au patrimoine mondial

Par ailleurs, depuis 2005, Le havre fait partie du cercle prestigieux des sites classés au patrimoine mondial. La reconstruction de la ville après la Seconde Guerre mondiale fut dirigée par l’architecte Auguste Perret. Les grands bâtiments en béton brut et les larges avenues rectilignes sont les caractéristiques de cette ville moderne qui brille alors de toute sa luminosité. Cette reconstruction exemplaire et cette cohérence architecturale correspondant à une période significative de l’histoire humaine, sont les critères qui ont présidé à cette reconnaissance suprême.

Les jardins suspendus du Havre

3. ACTIVITES DE PLEIN AIR

Sortie en mer « au gré des vents »

D’avril à octobre les deux vieux gréements le « Mil’Pat » et la « Tante Fine » vous invitent à bord pour une découverte inédite des falaises de la Côte d’Albâtre. Ils vous proposent une expérience inoubliable, dans la peau d’un matelot à bord de ces anciens bateaux de pêche, magnifiquement restaurés. Hissez les voiles pour une sortie de deux heures ; c’est le vent qui vous emportera en direction de Saint-Pierre-en-Port, ou d’Yport.

Autre formule, la mini-croisière de quatre heures, emmène ses passagers devant Etretat, ses portes et son aiguille creuse, repaire d’Arsène Lupin.

Le capitaine Astérix vous racontera l’histoire de ces deux anciens langoustier et langoustinier.

Sortie en bateau de pêche

Woody Park

Le Woody Park est un parc de loisirs multi-activités, situé à Fécamp, non loin de la plage et du centre-ville. Balade détente ou sportive au sommet des arbres, course-poursuite de branche en branche, mais encore, partie de paint-ball acharnée, c’est un terrain de jeu idéal pour petits et grands !

Vivez des expériences rafraîchissantes et ludiques au milieu des bois, et découvrez de nouvelles sensations ! Parcours accrobranche, olympiades sur des joutes suspendues ou combats de sumos, babyfoot humain, jeux urbains avec GPS… Le choix est vaste ! Les enfants y trouveront également leur bonheur (parcours ouistiti, piscine à balles suspendue, paint-ball…)

Woody Park vous propose également une aire de jeux et un espace pique-nique à l’ombre des hêtres centenaires. Des tables forestières et un barbecue sont à votre disposition pour faire le plein d’énergie avant de vous élancer dans les arbres pour une aventure inoubliable !

198 av Mal de Latte de Tassigny – 76400 FECAMP – 02 35 10 84 83 – site web

Woody Park

Base de loisirs du lac de Caniel

Dans le cadre exceptionnel de la Vallée de la Durdent, base de loisirs aux multiples activités : ski nautique, pédal’eau, canoë-kayak, mini-golf mais aussi skate-parc, bowling, luge d’été, laser-game, karting, terrain multisports, aquaparc, parcours nature, aire de jeux, bar et restauration à l’intérieur ou en terrasse avec vue sur le lac. Baignade surveillée en juillet et août. Village Ludiboo pour les enfants : jeux gonflables, trampolines…, plaine de jeux couverte pour les 2-12 ans. Bar à cocktails, animations (concerts, karaoké, guinguette…)

Rue du Dessous des Bois . 76540 VITTEFLEUR . 02 35 97 40 55

Base de loisirs du lac de Caniel

Labyrinthe des Dalles à Sassetot-le-Mauconduit

Venez vous amuser en famille en cherchant votre chemin dans un labyrinthe de maïs. 3 parcours ludiques vous sont proposés ponctués de jeux pour les tout-petits.

Normandie Terre vous invite à (re)découvrir la Normandie à travers son histoire, ses personnages illustres, sa gastronomie…

Tandis qu’avec le parcours Normandie Mer, vous prendrez le large !

Les enfants (5-10 ans) auront plaisir à emprunter le chemin des monstres ; Résolvez une nouvelle énigme, avec des indices à trouver à l’intérieur et aux alentours du labyrinthe.

Route des 24 marches (derrière le château de Sissi) – 02 35 10 29 59

Labyrinthe des Dalles à Sassetot-le-Mauconduit

4. PATRIMOINE ET MUSEES

Maison des croyances, vie d’antan et traditions du terroir

Installé dans un ancien presbytère, le musée retrace les légendes, les secrets de sorciers, les croyances, les saints guérisseurs, les traditions d’autrefois dans l’école et la vie quotidienne des Cauchois, à partir de plusieurs objets du monde rural. Vous pourrez jouer à la boule cauchoise.

18 rue de la Mairie – 76540 Saint-Pierre-en-Port – 02 27 30 46 04 – 06 22 82 60 27 – 5 €

La boule cauchoise

Le Musée des Pêcheries

Aménagé dans une ancienne sècherie de morue, le Musée des Pêcheries propose aux visiteurs la diversité de ses collections, toutes liées à l’histoire de Fécamp : galerie historique, pêche, Beaux-Arts, enfance et vie cauchoise. Situé au 7 ème niveau du musée, le belvédère, offre sur 360 degrés un point de vue sur la ville et la côte d’Albâtre.

musée des pêcheries

Cap Fagnet et Chapelle Notre-Dame-de-Salut–Fécamp, cité ducale

De l’ancien français « Fagne », dérivé de « fange », désignant le marécage, le cap Fagnet offre, du haut de ses 110 mètres, point culminant de la côte d’Albâtre, un panorama saisissant sur la mer, les falaises et la vallée de Fécamp. C’est un site stratégique à travers les âges : oppidum gaulois (fossé encore visible), blockhaus du Mur de l’Atlantique. Le cap est reconnaissable dans le paysage par les silhouettes familières du sémaphore, de la chapelle des marins, et depuis 2006, par le parc éolien. Une faune et une flore particulières peuplent ce lieu.

La Chapelle Notre-Dame-de-Salut

Nichée en haut de la falaise et servant de point d’amer (repère maritime) aux bateaux, la chapelle des marins possède une atmosphère particulière. Amputée de la toiture de la nef et d’une branche du transept, eut fait des guerres et des intempéries. Elle résiste toujours grâce à l’affection que lui porte la population. L’édifice abrite de nombreux ex-voto, offrandes à Notre-Dame, répondant à un vœu exprimé au moment d’un péril, et sauvegarde la mémoire des marins péris en mer.

Autrefois chemin de pèlerinage, la « sente aux matelots » relie le port à la chapelle (départ quai Maupassant). Elle comporte une charge émotionnelle appréciée des promeneurs.

5. LOISIRS A L’ABRI POUR JOURS DE PLUIE

Casino de Fécamp

Dans une ambiance décontractée et conviviale, chacun y trouve son bonheur.

122 machines à sous à rouleaux à partir de 1 centime, vidéo, poker, roulette anglaise, black jack, stud poker.

Restaurant, animations, soirées à thème

Boulevard Albert 1er – 76400 FECAMP- 02 35 28 01 06

Casino de Fécamp

Le clos d’Arsène Lupin

Dans une vaste demeure familiale normande, au charme délicieusement suranné, vous est proposée une rencontre insolite avec le gentleman cambrioleur, en chair et en os, de retour sur les lieux qui l’ont vu naître. Qui de Maurice Leblanc ou d’Arsène Lupin a vécu ici ? Les deux, assurément, puisqu’on y découvre pêle-mêle les souvenirs de l’écrivain et les objets liés à la gloire de son héros. L’astucieux dandy confie ses secrets et défie le visiteur avec ses énigmes.

15 rue Guy de Maupassant – 76790 Etretat – 02 35 10 59 53 – prix 7,50 €.

Le repère d’Arsène Lupin

6. DÉGUSTATION ET SAVOIR-FAIRE

Le Palais Bénédictine

C’est, dit-on, le moine bénédictin Dom Bernado Vincelli qui serait à l’origine, au début du XVIe siècle, de cette liqueur issue de la distillation de plantes locales mélangées avec des épices orientales. C’est un négociant en vins, Alexandre Le Grand, qui mit au point la recette définitive, au XIXe. Il la nomma Bénédictine, en hommage au mystérieux moine. Il décida ensuite de construire le flamboyant palais néogothique pendant la néo-Renaissance, pour y installer sa distillerie. Le Palais, abrite désormais le musée consacré à l’élixir, il présente aussi une importante collection d’œuvres d’art. La distillerie est toujours implantée dans le palais. 3,5 millions de bouteilles en sortent chaque année, elles sont distribuées dans le monde entier.

Palais bénédictine à Fécamp

Le musée du chocolat

La chocolaterie Hautot vous offre un voyage cacaoté à travers différentes pièces thématisées. Des animations, des jeux, des dégustations rythmeront votre parcours. Le chocolat n’aura plus de secret pour vous. Une expérience ludique et attractive vous attend, pour le plaisir des petits comme des grands.

Office Intercommunal de Tourisme de Fécamp – Quai Sadi Carnot – 76400 FECAMP

Tél 02 35 82 84 61 – billet@fecamptourisme.com – tarif réduit

Les champs de lin

Au printemps, la campagne cauchoise offre un paysage unique en couleur ; au jaune vif du colza succède le bleu tendre du lin. Avec son sol riche et son climat humide, le pays de Caux est la première région de France productrice de lin. Semé en mars-avril, le lin est arraché au mois de juillet. Il est alors disposé sur le sol pour le rouissage, la rosée et l’humidité permettant de séparer plus facilement les fibres du reste de la tige. C’est la phase la plus délicate. Au début de septembre a lieu le ramassage. Vient ensuite le teillage qui va séparer la partie noble du lin utilisée dans la confection du tissu pour le linge de maison ou d’ameublement, des sous-produits qui serviront à l’alimentation du bétail, la fabrication de l’huile et des agglomérés pour la menuiserie.

Une culture Bio

À l’heure où l’on s’interroge sur le devenir de notre planète, la culture du lin ne nécessite ni engrais, ni produits chimiques. C’est une culture saine et écologique, seule la pluie suffit à sa croissance. Une fibre aux multiples atouts, très appréciée pour sa résistance hors du commun. Douce, naturelle, anallergique, elle n’irrite pas la peau et prévient les affections dermatologiques. Elle a un pouvoir thermorégulateur et est très absorbante. Le lin peut emmagasiner près de 20 % d’eau sans paraître humide. Et en plus il sèche très vite.

Le plus vieux textile au monde

Tissé depuis l’Antiquité, certains disent que le lin est le plus vieux textile au monde. Du temps de l’Egypte antique, on l’utilise pour la confection de vêtements, voiles de bateau, cordages. Mais ce n’est pas tout ! Ce n’est pas un hasard si les momies retrouvées par les archéologues sont si bien conservées. Fibre longue et soyeuse, elle présente l’avantage d’être imputrescible.

Mais c’est seulement au XIIe siècle, que l’industrie linière assoit véritablement sa réputation. En effet, un tisserand originaire de Cambrai met au point un nouveau procédé de tissage d’une rare finesse qui va donner au lin français sa belle notoriété. C’est une matière précieuse pour ses belles qualités textiles mais on l’utilise désormais dans l’industrie automobile, la construction écologique ou encore les coques de certains kayaks.

Aujourd’hui, le lin est principalement cultivé en Europe de l’Ouest (France, Belgique et Pays-Bas). La Normandie est le 2e producteur mondial.

La route du lin

Boutique La Vitrine du lin

888 route de la Petite Chaussée – 76110 BRETTEVILLE-DU-GRAND-CAUX – 02 35 28 36 79

C’est dans un clos masure typiquement cauchois, que la Vitrine du lin vous ouvre ses portes. Au sein d’une habitation datant du XVIIe siècle, vous suivrez l’histoire du lin, du champ au vêtement, dans une exposition gratuite.

Pour les yeux et les oreilles, une vidéo, des documents photographiques et des textes permettent de se familiariser avec la culture du lin.

Pour les doigts, des échantillons (filasse, étoupes, graines) sont mis à disposition pour comparer les différentes qualités du lin avec leurs appellations et aussi découvrir ses nombreuses utilisations (intérieurs de portières de voiture, panneaux agglomérés, huiles…).

Ce guide est proposé par :

Cet article vous est proposé par le gîte et chambre d’hôtes Princesse Petits Pois à 24 km d’Etretat.  https://www.princessepetitspois.com

Joelaindien

Pierre, alias Joelaindien, est ingénieur en aménagement du territoire, diplômé de l'ENS d'Horticulture et d'Aménagement du Paysage. Il est passionné de voyages, des deux côté de la barrière, puisqu'il est à la fois voyageur invétéré et propriétaires de locations saisonnières. Il sera ravi de répondre à vos questions, laissez un commentaire !

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